La cité flottante de Nym.
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La cité flottante de Nym.
par Noro Jeu 4 Juin - 15:12
Le sort de la cité flottante de Nym reste probablement l’un des mystères archéologiques les plus passionnants de l’Histoire de l’île de Vylbrand.
En effet, hormis des ruines et des pistes découvertes çà et là, il y a peu d’informations sur les origines, les coutumes et le déclin de cette civilisation qui est considérée comme l’une des premières cité-état qu’ait connu Eorzea.
Nym fut probablement bâtie durant la Cinquième ère astrale dans l’actuelle Noscea. Ses vestiges s’étendant sur une majeure partie de la région, elle devait être composée de plusieurs sections et quartiers exploitant la mince surface de l’île. Le Frai de Sapsa, en Noscea Occidentale, était le lieu où se tenait les installations de la marine, par exemple. Ainsi, on peut considérer que chaque ancienne fondation trouvée en Noscea est susceptible d’appartenir à Nym.
La cité flottante avait un lien assez étroit avec les pratiques maritimes, dû à sa situation géographique. Il n’est pas illogique de croire qu’elle fut fondée par des marins. Cela peut expliquer le fait qu’Oschon le Vagabond soit très présent dans sa culture. Le palais construit en son honneur en Haute Noscea reste l’édifice le mieux conservé aujourd’hui.
Nymeia la Fileuse fut manifestement l’autre figure religieuse dominante du peuple Nymien. D’ailleurs le choix même du nom de la cité et les quelques reliques encore présentes (au Sud de la Baie Moraby en Basse Noscea notamment) témoignent de cette dévotion.
Nym était munie d’un réseau de cristaux permettant la flottaison de certaines sections. Au delà de la démarche artistique, il servait surtout de moyen de défense. En effet, ère astrale ou pas, de nombreuses batailles eurent lieu durant cette époque et Nym connut probablement la prospérité grâce à ce dispositif.
Parmi les protections dont la cité jouissait, les Erudits étaient certainement ceux qui en composaient la première ligne. Ces mages de bataille armés d’un livre de sorts comme seul arsenal firent trembler les peuples d’Aldenard, qui comptait de nombreux envahisseurs, durant des décennies. Les récits présents dans « Guerre de la Magie » les décrivent comme de farouches tacticiens sur le champ de bataille. Ils étaient en osmose avec de petites créatures féeriques qui au delà de leur forme était un atout capital. L’école de magie qu’ils maîtrisaient resta enfouie jusqu’à ce qu’un maraudeur du nom d’Alka Zolka fouille le passé de Vylbrand au cours de la Septième ère ombrale.
Le peu que l’on sait de la Guerre de la Magie permet d’alimenter les théories quant aux causes du déclin de la civilisation Nymienne. L’ambition des Mages Blancs d’Amdapor provoqua un cataclysme qui plongea le monde dans la Sixième ère ombrale. Une grande inondation s’empara d’Eorzea. Par déduction, il n’est pas extravagant de croire que les Nymiens furent ravagés par un changement drastique de leur environnement côtier. Si l’on considère également les pertes encourues durant la bataille de la Poigne des Dieux, on peut croire aisément à des conséquences désastreuses pour la cité-état.
De récentes découvertes font écho d’une attaque brutale d’un groupe de bandits accompagnés de cœurls…
La seule chose de sure est que Nym fut définitivement balayée par un mal mystérieux venu de la mer. Cette malédiction changea une partie de la population en de petites créatures à la peau verte et au regard vide. Ils sont nommés Tonberry et errent encore autour des ruines de la Haute Noscea.
Moult détails sur la civilisation insulaire demeurent toujours dans l’ombre et seront peut être perdus à jamais. Cela n’empêche pas les nombreux aventuriers et touristes qui rodent sur les bords du Lac d’Airain de rêver de sa grandeur incontestable. Le Palais du Vagabond trône depuis quinze siècles et abreuvent l’imagination des chercheurs. La Noscea quant à elle transpire cet héritage antique. Il est nécessaire de considérer Limsa Lominsa et sa « culture de la mer » comme une enfant baignée dans l’Histoire de la cité flottante de Nym.
En effet, hormis des ruines et des pistes découvertes çà et là, il y a peu d’informations sur les origines, les coutumes et le déclin de cette civilisation qui est considérée comme l’une des premières cité-état qu’ait connu Eorzea.
Nym fut probablement bâtie durant la Cinquième ère astrale dans l’actuelle Noscea. Ses vestiges s’étendant sur une majeure partie de la région, elle devait être composée de plusieurs sections et quartiers exploitant la mince surface de l’île. Le Frai de Sapsa, en Noscea Occidentale, était le lieu où se tenait les installations de la marine, par exemple. Ainsi, on peut considérer que chaque ancienne fondation trouvée en Noscea est susceptible d’appartenir à Nym.
La cité flottante avait un lien assez étroit avec les pratiques maritimes, dû à sa situation géographique. Il n’est pas illogique de croire qu’elle fut fondée par des marins. Cela peut expliquer le fait qu’Oschon le Vagabond soit très présent dans sa culture. Le palais construit en son honneur en Haute Noscea reste l’édifice le mieux conservé aujourd’hui.
Nymeia la Fileuse fut manifestement l’autre figure religieuse dominante du peuple Nymien. D’ailleurs le choix même du nom de la cité et les quelques reliques encore présentes (au Sud de la Baie Moraby en Basse Noscea notamment) témoignent de cette dévotion.
Nym était munie d’un réseau de cristaux permettant la flottaison de certaines sections. Au delà de la démarche artistique, il servait surtout de moyen de défense. En effet, ère astrale ou pas, de nombreuses batailles eurent lieu durant cette époque et Nym connut probablement la prospérité grâce à ce dispositif.
Parmi les protections dont la cité jouissait, les Erudits étaient certainement ceux qui en composaient la première ligne. Ces mages de bataille armés d’un livre de sorts comme seul arsenal firent trembler les peuples d’Aldenard, qui comptait de nombreux envahisseurs, durant des décennies. Les récits présents dans « Guerre de la Magie » les décrivent comme de farouches tacticiens sur le champ de bataille. Ils étaient en osmose avec de petites créatures féeriques qui au delà de leur forme était un atout capital. L’école de magie qu’ils maîtrisaient resta enfouie jusqu’à ce qu’un maraudeur du nom d’Alka Zolka fouille le passé de Vylbrand au cours de la Septième ère ombrale.
Le peu que l’on sait de la Guerre de la Magie permet d’alimenter les théories quant aux causes du déclin de la civilisation Nymienne. L’ambition des Mages Blancs d’Amdapor provoqua un cataclysme qui plongea le monde dans la Sixième ère ombrale. Une grande inondation s’empara d’Eorzea. Par déduction, il n’est pas extravagant de croire que les Nymiens furent ravagés par un changement drastique de leur environnement côtier. Si l’on considère également les pertes encourues durant la bataille de la Poigne des Dieux, on peut croire aisément à des conséquences désastreuses pour la cité-état.
De récentes découvertes font écho d’une attaque brutale d’un groupe de bandits accompagnés de cœurls…
La seule chose de sure est que Nym fut définitivement balayée par un mal mystérieux venu de la mer. Cette malédiction changea une partie de la population en de petites créatures à la peau verte et au regard vide. Ils sont nommés Tonberry et errent encore autour des ruines de la Haute Noscea.
Moult détails sur la civilisation insulaire demeurent toujours dans l’ombre et seront peut être perdus à jamais. Cela n’empêche pas les nombreux aventuriers et touristes qui rodent sur les bords du Lac d’Airain de rêver de sa grandeur incontestable. Le Palais du Vagabond trône depuis quinze siècles et abreuvent l’imagination des chercheurs. La Noscea quant à elle transpire cet héritage antique. Il est nécessaire de considérer Limsa Lominsa et sa « culture de la mer » comme une enfant baignée dans l’Histoire de la cité flottante de Nym.
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